Département de Nutrition et Diététique à LGU Interview avec 2 Etudiantes
Joelle Abi Khalil Khairallah
Globe: Pourquoi avez-vous choisi les études de Nutrition et Diététique?
Joëlle: Je considère la nutrition non seulement comme une spécialisation mais comme une culture générale de l’alimentation dans notre vie quotidienne, qui se manifeste dans tous ses états physiologiques, pathologiques et thérapeutiques. C’est une spécialisation intéressante, moderne et riche qui débouche sur une carrière très prisée actuellement.
Globe: Quelles sont les matières que vous étudiez ?
Joëlle: Les matières requises en cours de spécialisation sont classées en plusieurs catégories selon leur degré d’importance. Les matières principales incluent, entre autres, la nutrition humaine, le cycle de vie, la chimie alimentaire, l’hygiène des aliments, la diététique thérapeutique, la psychologie et les troubles alimentaires. Les matières générales ont plutôt rapport avec la statistique, la pharmacologie, la bactériologie, la physiologie des aliments. Ce sont des matières essentielles en raison des informations qu’elles offrent facilitant ainsi la compréhension des matières principales.
Alors que les matières électives sont très intéressantes et comprennent la danse, la culture allemande et même la plongée sous-marine !
En effet, ce sont des matières qui ajoutent à la spécialisation un certain dynamisme et un goût pour l’exploration.
Globe: La LGU est-elle une université à la mesure de votre ambition ?
Joëlle: Oui, c’est une université qui m’a aidé à réaliser mes ambitions. Les conventions signées avec d’autres universités permettent aux étudiants l’obtention de doubles diplômes.
Globe: Bénéficiez-vous d’aides financières ?
Joëlle: Les frais de scolarité varient en fonction du nombre de crédits ce qui est abordable, compte tenu de la qualité d’éducation qu’on reçoit et la grande expérience des professeurs qui sont souvent des médecins. La LGU propose des aides financières pour ceux qui en ont besoin ou ceux qui désirent profiter de ces aides offertes par l’Association Libano-Allemande pour la Promotion de la Culture.
Globe: Que pensez-vous faire après l’obtention de votre licence?
Joëlle: Finalement, je peux dire que je suis très ambitieuse et je compte poursuivre un Master dans l’un des domaines de la nutrition dans l’avenir.
Rana Mouawad
Globe: Pourquoi avez-vous choisi les études
de Nutrition et Diététique ?
Rana: J’ai choisi le domaine de la nutrition car elle est la clé de la santé et comme le disait Hippocrate « l’alimentation est notre première médecine ». En effet, l’alimentation étudie les aliments et leur absorption par l’organisme. Et comme j’aime bien savoir quoi manger et de quelle façon, je n’ai pas hésité à choisir cette spécialisation.
Globe: Quelles sont les matières que vous étudiez ?
Rana: Les cours que nous suivons sont très intéressants. Il y a ceux qui nous montrent le nombre de calories présents dans n’importe quel aliment, d’autres qui nous expliquent le processus de digestion des aliments ingérés et leur rôle dans notre corps ou ceux comme la bactériologie qui nous informent sur les maladies provoquées par les aliments contaminés. Le cours «Alimentation et cycle de vie» m’a beaucoup appris notamment sur la prise alimentaire dès la naissance et à chaque stade de la vie.
Par ailleurs, on apprend beaucoup sur l’hygiène alimentaire, la salubrité des aliments, les contrôles hygiéniques et leurs effets sur la santé humaine.
Nous étudions aussi beaucoup de cas qui permettent d’indiquer le régime alimentaire à suivre en cas de maladie spécifique.
Globe: La LGU est-elle une université à la mesure de votre ambition ?
Rana: Il n’y a aucun doute que la LGU se démarque des autres universités vu la compétence de ses professeurs, la prise en charge des étudiants et leur suivi en salle de cours et sur les lieux de stage.
Globe: Que pensez-vous faire après l’obtention de votre licence?
Rana: Après la licence, je voudrais bien poursuivre mes études pour l’obtention d’un master afin de pouvoir exercer le métier de nutritionniste et diététicienne dans ma propre clinique.
Renée Rafih